Asnières-sur-Vègre est une petite cité de caractère de la Vallée de la Sarthe. Artisan d'art dans le village.
Selon la tradition, Asnières figure parmi les 1ères paroisses fondées dans le Maine au Ve s. Les Chanoines du Chapitre Cathédrale du Mans deviennent les barons d'Asnières au XIe s. Ils engagent commande de remarquables campagne de peintures murales dans l'église Saint-Hilaire.
Le Manoir de la Cour : Les chanoines en sont probablement les bâtisseurs à la fin du XIIIe s. Cet édifice abritera le centre d'interprétation du patrimoine de Pays.
Une belle unité se dégage du bâti traditionnel...
Selon la tradition, Asnières figure parmi les 1ères paroisses fondées dans le Maine au Ve s. Les Chanoines du Chapitre Cathédrale du Mans deviennent les barons d'Asnières au XIe s. Ils engagent commande de remarquables campagne de peintures murales dans l'église Saint-Hilaire.
Le Manoir de la Cour : Les chanoines en sont probablement les bâtisseurs à la fin du XIIIe s. Cet édifice abritera le centre d'interprétation du patrimoine de Pays.
Une belle unité se dégage du bâti traditionnel Asnièrois par ses formes architecturales et sa palette de couleur dominée par les tons ocres des grès et sables ferrugineux.
Les boucles de la Vègre abritent manoirs et châteaux aux origines féodales parmi lesquels le château de Moulinvieux.
Un détour s'impose au verger conservatoire labellisé "Jardin d'oiseaux", planté en 1998.
Vous pourrez le long de ce circuit découvrir le château de Dobert.
Et avant de repartir, une visite s'impose au Jardin Mosaïque (La Salle).
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Points d'intérêt
1L'église Saint Hilaire
2Le Manoir de la Cour
3Le Château de Dobert
1L'église Saint Hilaire
L’église Saint-Hilaire est célèbre pour ses nombreuses peintures murales. À partir du XIe siècle, les chanoines embellissent et développent leur seigneurie d’Asnières. C’est ainsi qu’ils achètent la nef et que selon leurs souhaits, les murs de l’église sont décorés. Ce sont les célèbres peintures murales mises au jour en 1951 par Madeleine Pré. Sur les murs de la nef, on peut observer la promesse de la Rédemption qui réconforte l’âme des fidèles terrifiés par les démons de l’Enfer.
Autre lieu majeur, il se détache nettement du paysage villageois. Les chanoines en sont probablement les bâtisseurs à la fin du XIIIe siècle. L'édifice, siège de l'exploitation agricole de la seigneurie, apparaît également comme un lieu d'administration et de représentation féodale (Cet édifice abritera prochainement le centre d'interprétation du patrimoine du Pays).
Le Château de Dobert est son parc sont situés à Avoise dans une boucle de la Vègre. La première mention d'un seigneur de "Dobert" apparaît au XIIIe siècle. Dans la première moitié du XVIIe siècle, le logis médiéval est agrandi et cantonné de pavillons. Au siècle suivant, le propriétaire, Jean-Baptiste Denis de Bastard, en fait par le remaniement des façades un château harmonieux à l'architecture classique. Les dépendances (chapelle, communs et moulin) sont complétées au siècle suivant par l'aménagement d'une ferme modèle et d'un moulin chinois dont il reste aujourd'hui l'aqueduc.